Nous sommes loin de pouvoir cerner l'ensemble des conséquences du réchauffement climatique mis en évidence par le Groupe intergouvernemental d'experts sur l'évolution du climat (Giec) de l'Onu.
C'est notamment pour la faune et la flore, en France, qu'il faut s'attendre à de véritables surprises dans les années à venir. On pourrait assister l'arrivée des gazelles ou de dromadaires au sud du pays, devenu désertique.
Chaleur et fonte des glaciers pourraient provoquer une montée impressionnante des niveaux et températures de nos cours d'eau, engendrant une végétation luxuriante.
La Seine serait susceptible de franchir les berges et on imagine déjà la capitale envahie par des bêtes sauvages mettant en danger nos institutions. Des caïmans à Matignon, des hippopotames à l'Élysée, des tortues au Sénat, des piranhas au Palais Bourbon ou encore des éléphants rue de Solférino.
Cela dit, nos responsables politiques pourront toujours échapper aux monstres qui les menacent en s'accrochant aux branches : ils ont l'habitude.
- - -
Poisson d'avril initialement publié ici.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire