Voilà donc Pierre Charon réputé en disgrâce. Lui qui, pourtant, voici trois ans, protégeait si vaillamment Carla Bruni devenue first lady est banni de l’UMP.
Il n’aurait pas dû chasser sur les terres de Chantal Jouanno, éviter de filer la métaphore du lit au tatami et se coucher. Mais non.
Il fut pourtant un zélé serviteur. Quand le couple présidentiel était livré en pâture aux rumeurs, c’est lui qui, à l’affût, lançait les battues médiatiques et dégommait les canards. Le doigt sur le chien, l’ancien conseiller en communication de Nicolas Sarkozy avait traqué un « complot organisé », allant même jusqu’à achever Rachida Dati.
La suite ? Privé de réunion quotidienne de l’état-major du président, puis prié d’aller organiser les battues de sangliers à Chambord. Il vient d’ailleurs d’en démissionner, son instinct de chasseur l’amenant probablement poursuivre d'autres proies... ou à les rabattre.
Je crains qu'il n'ait franchi son Styx politique.... et ce n'est pas moi qui donnerai l'obole.
RépondreSupprimer@undessinparjour Manque d'obole (-:
RépondreSupprimerIl aura pêché par tradition...
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