Alors ? Forte ou molle, la gauche de demain ? On verra à l'usure.
Mais cette question de morphologie est importante : si la gauche devient folle, elle est morte assurent les uns, tandis que les autres craignent qu'une gauche amorphe finisse par plonger l'électeur dans les bras de Morphée.
En effet, ça n'est pas qu'une question de forme : si la gauche venait à formuler des réformes malformées, elle pourrait morfler, voire même se faire démolir par une droite mortelle.
Elle doit donc resserrer les boulons à grands coups de clé à molette pour être formidable. Trouver une sorte de synthèse où la fusion de la gauche molle et de la gauche forte ne finisse pas dans le formol.
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Mise à jour du 17 octobre 2011, au lendemain du second tour de la primaire du PS. Pour être parfaitement cohérent avec le fond de ma pensée sur ce que je crois susceptible de se produire en avril 2012 : je ne sais pas si Hollande c'est la gauche molle, mais je suis certain que Le Pen, c'est la Gaulle moche.
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