Une mauvaise note dans le concert des nations et voilà la cacophonie. La faute à qui ? Au chef d’orchestre Obama ? Aux musiciens de la scène internationale qui estiment que l’oncle Sam les mène à la baguette depuis trop longtemps ?
Rien de tout ça. C’était une bourde, assure Barack, qui a notifié ses griefs à qui de droit, notablement énervé qu'on entache ainsi sa notoriété.
Mais bon. Une erreur de calcul, ça peut arriver à tout le monde. Même à Standard and Poor’s. Il faut dire que quand on commence à compter les dollars en trillions, ça ne doit pas être simple.
Mais comment est-ce possible ? Cela dénote-t-il un manque de sérieux ? On voit mal ces notables de la finance commettre des erreurs dans leur prise de notes.
Alors le doute plane. En fait, il faudrait inventer un organisme qui note les agences de notation. Et puis par mesure de sécurité, une agence pour vérifier que le travail de ces experts n'est pas trop politiquement connoté, notamment.
A force de trier des trillons et d'organiser des tas d'organismes, on va finir par déstructurer ce qu'il reste des structures, moi je dis.
RépondreSupprimerEt c'est peu dire que de le dire.
@mike hammer papatam andropov : toute cette instabilité, c'est déstabilisant, faut dire.
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