David Pujadas :
" Une stratégie de com’? "
François Hollande :
" C’était pour être en harmonie avec moi-même. "
Bref : du lourd dans le débat politique. La faute à Pierre Dukan ? C'est vrai qu'il a balancé des noms au grand journal et demandé aux candidats de faire de la réduction de la charge pondérale des Français une priorité nationale.
Mais ça n'est pas la première fois que les bourrelets présidentiels viennent peser sur le débat politique : on se souviendra avec émotion de cet été 2007 où Paris Match avait gommé les poignées d'amour de Nicolas Sarkozy. La suite, on la connaît : Julie Imperiali en a fait ses choux gras.
C'est comme ça : les candidats doivent être intelligents et minces. Et les électeurs ? Gros et cons ? Une question à laquelle Sophia Aram et Guy Carlier ou encore Didier Porte avaient essayé de réponde.
Quand la politique manque de légèreté, dans ce monde de brutes épaisses, quelques grammes de finesse ne peuvent pas faire de mal.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire