La règle numéro 1 : même s'ils vous demandent des choses surprenantes, ne pas poser de questions. Répondre présent.
Il faut être capable dans ces moments-là de s'affranchir, de transgresser, de commettre des actes irréparables.
Parce que c'est comme ça : on ne donne pas cette possibilité à n'importe qui. On a réfléchi, on a choisi. On sait qu'il faut être présent.
La règle numéro 2 : ne pas se lamenter sur son sort parce qu'en dépit de cette fidélité, on reste sans nouvelles depuis des lustres.
Cette relation se moque des semaines, des mois, des années. Elle s'est affranchie de la temporalité de la vie elle-même.
C'est pour cela que les actes que l'on a pu commettre en application de la règle numéro 1 ne sont pas irréparables.
Règle numéro 3, la dernière : vivre chaque instant avec la certitude que ça n'était pas un sacrifice. Juste une reconnaissance.
Cette intuition forte n'était que l'expression d'une réalité : donner sans attendre en retour et s'émerveiller, un jour, de la réciprocité.
A mes amis, les vivants comme les morts.
Twitstory du 10 juillet 2010 entre 0 heures et 0 h 30 sur la TL de @christreporter
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